L’affaire Batushka, c’est comme la guerre en Ukraine : ça a fait les choux gras de la presse pendant un temps et ça c’est essoufflé. Pour rappel en 2015 le fondateur du groupe Krzysztof Drabikowski embauche un vocaliste en la personne de Bartłomiej Krysiuk qui se serait approprié le groupe, la marque, etc. Il existe donc à ce jour deux voire plus versions du groupe. Nous parlons ici de l’ « officielle », celle du « méchant » Bart puisque c’est lui qui a signé avec une major.

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Quand les français font du métal, il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus. Hangman’s Chair font partie des seconds, qui ont eu leur petit moment de gloire.

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Quand on vient de Christchurch en Nouvelle-Zélande, est-on condamné à chanter du gospel ? Foutre Diable non ! Organectomy nous le prouve avec ce clou sous l’ongle !

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Suite et fin, toutes les bonnes fins ont une chose. Si vous n’avez pas lu le 1, le 2, le 3 et le 4, allez-y.

Avec Vous Autres, Vreid, Vulcain et Withered.

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Après le 1, le 2, le 3, quand yena pu, yena encore ! En guest : Nightfall, Omega Infinity, Opera Diabolicus et Pessimist. Le Grab Bag 2024, suite et suite.

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Après le 1 et le 2, la suite logique avec Gargoyl, Green Carnation, Misanthur et Mora Prokaza.

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Je ne joue pas, j’expérimente

Publié: 21 février 2024 dans Ludoque, mi fili

Godlike Burger (Epic Games)

Vous connaissez ces jeux où il faut répondre aux commandes de clients dans un restaurant ? Ben là c’est un peu la même chose sauf que votre restau c’est une gargote où tout tombe en panne et où vous pouvez cuisiner vos clients (bon, je n’en suis pas encore là, mais c’est la promesse du jeu).

Dès les premiers niveaux, il faut enchaîner les commandes, sans se tromper, qui n’en veut du fromage, de la tomate, des oignons, etc.

Peaky Blinders – Mastermind (Amazon Games)

Inspiré de la série à succès (à raison), ce jeu, la conception fait penser à l’excellent Commandos avec une vue en 3D iso et le principe d’éviter de se faire repérer. Bon, vite fait ça m’a saoulé le timing imposé pour finir les missions 🙂

Le Donjon de Naheulbeuk – L’amulette du désordre (Epic Games)

Quand on pense que tout est parti d’une série de trois francs six sous en web radio et qu’après la bédé, les concerts du groupe Naheulband, les goodies, etc., il y a désormais le jeu vidéo, à quand la série Netflix ?!

On retrouve dans le jeu l’humour de la web série avec les ingrédients typiques d’un RPG : Couloir / Piège / Monstres / Trésor, amélioration des compétences, etc. Et puis c’est joli, même si le système de combat est assez complexe, je trouve.

Baldur’s Gate Enhanced Edition (Amazon Games)

Oui, je sais, mais c’est dans les vieux pots, etc. Et Baldur’s Gate reste une référence des RPG.

Foretales (Amazon Games)

Un jeu d’aventures en mode carte à jouer, plutôt joli, et du coup assez reposant, et pas si simple, mêlant stratégie (gérer au mieux le nombre limité de cartes) et réflexion (quelle carte attaquer / visiter).

Wildcat Gun Machine (Epic Games)

Un shoot’em up en 3D Isométrique, mais bien moins maniable que Viral par exemple. Bah oui, quand tu fais de la 3D Iso, tu t’arranges pour que le perso se déplace en diagonale, non ? ça évite de devoir appuyer sur 2 touches directionnelles en même temps…

On continue avec une sélection pas piquée des hannetons. Avec The Devil’s Trade, Earth Electric, Emptiness et Foscor.

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Profitant de cette aubaine (le précédent dont j’ai pu profiter date de 2017 !), me voilà avec 20 galettes à ausculter ! Je vais donc me faire le plaisir de faire du 20 en 5, plutôt que de faire 20 chroniques 🙂 Avec entre autres, Altarage, Abysmal Dawn, Bastarður et Mark Deutrom.

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Que voilà une bien belle salle que cette MJC de Rillieux La Pape, et qui accueille le fromage râpé sur le gratin du gros son qui tâche !

Le concert commence ce soir là avec les kiwis d’Organectomy pour un brutal death de bon aloi, qui n’oublie pas d’être mélodieux. Un growl qui sait se moduler, des percus au poil, guitare et basse au diapason, que demander de plus. Même si la salle n’est que peu remplie, la température monte déjà d’un cran. Bon, je les classe dans mes chouchous du genre avec Cryptopsy, Cytotoxin et Cattle Decapitation (qui fleurte entre deathgrind et brutal death)

La soirée se poursuit avec les ceusses pour lesquels je m’étais déplacé, curieux de voir la « nouvelle » révélation death, j’ai nommé l’innommable Sanguisugabogg. Avec un chanteur qui ressemble à Zach Galifianakis (avec des tatouages, et moins bonhomme), qui a des bras comme des jambons, on est sur du bon gros death qui tâche, sans concession et sans effet. Sympathique final ou le public est invité à monter sur scène pour un joyeux bordel !

La seconde surprise vient avec Enterprise Earth, qui étrenne son nouveau chanteur, un Tom Selleck aux cheveux longs qui nous étonnera par la diversité de son chant. Le guitariste offrira un chouette set. Un deathcore puissant et mélodique, à suivre.

Arrive enfin le groupe tant attendu, les papys du death, les Suffocation qu’on ne présente plus. On aura les yeux rivés sur Terrance Hobbs qui reste la mascotte du groupe, et on appréciera la sympathie du nouveau chanteur, arrivé en 2019. Un growl moins caverneux, plus « standard » que Frank Mullen. Les titres s’enchaîneront dans la sueur et le sang, la machinerie parfaitement huilée, avec des participations impromptues des growlers des précédents groupes qui affichent une franche sympathie.

Une soirée sous le signe du saignement de tympan, mais qui fait du bien par où ça passe !

Mais, franchement, ces gens qui ne profitent pas du concert et passe leur soirée à filmer, ça m’énerve !

Leur actualité

OrganectomyNail Below Nail (2022) • SanguisugaboggHomicidal Ecstasy (2023) • Enterprise EarthDeath: An Anthology (2024) • SuffocationHymns from the Apocrypha (2023)